Bon, finalement j’ai décidé de faire un RP, j’espère qu’il vous plaira. (j’ai décidé d’employer un point de vue externe, c’est la première fois que je fais ça dans un RP)
Euh si vous ne lisez pas tout ce n’est pas grave, je pense que ça illustre bien mon état d’esprit, je n’ai jamais très envie de faire les choses jusqu’à ce que je les fasse, et là ça me semble un peu über long.
Et vu que c'est un Rp de sacrieur, c'est forcément un peu gore aussi
à déconseiller aux âmes très sensibles.
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*La majorité des disciples de sacrieur se vouent à découvrir les pouvoirs de la douleur infligée à eux même, certains préfèrent l’adrénaline ressentie quand on fait subir cette douleur aux autres…
Un matin, alors qu’un vent chaud de Joullier soufflait dans les rues étincelantes de bonta, un jeune disciple de sacrieur tourne en courant au coin d’une rue, un bout de pain à la main.
Il rentre alors dans un enfant, le choc fait tomber les deux enfants à terre, L’homme qui poursuivait le jeune sacrieur le rattrape donc.*
-Salle morveux déjà en train de voler les autres si jeunes ! *il donne alors un coup de pied dans le visage du petit homme, qui est propulsé deux mètres plus loin, un filet de sang coulant de ses lèvres.*
-Je vais t’apprendre moi !*L’homme, vraisemblablement un iop, s’apprêtait à écraser le voleur sous sa botte, quand une flèche fusa à travers le tissu de son pantalon, entrainant sa jambe, lui faisant perdre l’équilibre, et lui faisant croquer le sol à pleine dent.
L’enfant percutée par le jeune sacrieur s’était levé et avait sorti de son dos un arc, duquel il avait tiré une flèche en un instant.*
-Viens, courrons !*L’enfant, qui était visiblement un disciple du dieu Cra, empoigna la main de l’autre gamin, et l’obligea à se lever.
Les deux garnements se mirent donc à courir pendant que le iop décrochait la flèche de son pantalon.
Cependant, le dit iop était adulte, ses enjambées étaient donc beaucoup plus grande que celles des fuyards.*
-Par ici !*Le Cra fit une glissade sous une palissade brisée, emmenant les deux compères en sécurité, du moins pour l’instant.*
-C’est bon, je crois qu’on l’a semé ! *Dit le jeune homme en reprenant son souffle*
-Eh bien ! Tu n’as même pas l’air essouflé. *dit-il au disciple du sang.*
-Comment t’appelles-tu ? Moi c’est moimarko, mais tu peux m’appeler marko.-Je m’appelle Bishop. * répondit le sacrieur d’un ton calme, il n’était pas fatigué, il n’avait même pas l’air d’avoir mal après le coup qu’il s’était prit.*
-Très bien, suis-moi Bish !*Le jeune sacrieur ne répondit rien, il n’avait pas trop l’habitude de frayer avec les enfants de son âge. Au final, il suivit quand même le Cra, curieux.
Les deux enfants arrivèrent sur une colline, sur laquelle poussait un arbre, ils finirent par y passer l’après-midi, à se moquer du marchand qu’ils avaient réussi à semer, le jeune Cra s’entrainait au tir pendant que Bishop restait allongé dans l’herbe, pensif.*
-Dis Bish, tu es drôlement résistant, tu n’as pas eu mal quand il t’a frappé ?-Cette douleur n’est rien…-…-Tu pourrai devenir soldat tu sais? Comme ça nous resterions ensemble pendant notre entrainement.-Cela ne m'intéresse pas...-Moi si! Je deviendrai Le plus fort des soldats! et je protégerai Bonta-Je n'ai rien à protéger-On pourrait se protéger l'un l'autre, tu ne crois pas?-...*à la tombée de la nuit, les nouveaux amis se séparèrent, Chacun rentra de son côté, Bishop rentra chez lui, dans ce qui ressemblait à un entrepôt de fumier, une toute petite maison à une seule pièce.
Bishop Entrouvrit la porte, jeta un œil à l’intérieur, c’est alors qu’il se fit attraper par les cheveux, et alors qu’il était suspendu en l’air il vu la silhouette d’un homme, son père à n’en pas douter…*
-Alors gamin, comme ça tu as volé un bout de pain au boulanger hein ?!
Je t’ai dit 100 Fois que tu ne dois pas te faire attraper !! * il décocha alors un puissant coup de poing dans les côtes, faisant tousser du sang au jeune sacrieur.*
-Et tu reviens les mains vides en plus ??! JE PEUX SAVOIR CE QUE TU AS FAIS DE TA JOURNEE PETIT PARASITE ?!*il n’attendait pas vraiment de réponse, il continua en le frappant à deux reprise*
[color:cc54=#663300-]Je crois que tu as dépassé les bornes, aujourd’hui je vais me servir de ça…
*L’homme sortit alors de sa ceinture un duo de dagues vraisemblablement très affutées, tout en regardant son enfant avec un sourire sadique.*
-Arr… *fit alors Bishop, manquant de force.*
-Qu’est-ce que tu dis, je ne t’entends pas petit merdeux !*une dague fit alors une légère coupure sur la joue de Bishop*
-Arrêt…-JE NE T’ENTENDS PAS !!*L’abdomen du jeune garçon se fendit sous la lame du poignard, déversant une effroyable quantité de sang.*
-ARRÊTE !!!!* le sadique fut projeté contre le mur opposé, brisant celui-ci. La vision qui s’offrait maintenant au père était celle d’un enfer de sang, le sang de la plaie de Bishop s’était arrêté de couler, mais un tourbillon du liquide rougeâtre tournoyait encore autour de l’enfant.
Des bras se créèrent à partir de ce sang que le père, quelques minutes auparavant, voyait encore comme une divine liqueur, la coagulation rendant ces 4 bras durs comme la pierre.
Une pluie de coup s’abattit alors sur celui-ci, les seuls sons que l’on entendait étaient le bruit de ses os qui se brisaient les uns après les autres, ses hurlements de douleurs, et les cris de folie de son fils.
Quand Les gens, alertés par ce bruit infernal, arrivèrent sur les lieux, il ne restait du père de Bishop qu’une bouillie rougeâtre, et de Bishop qu’un être recroquevillé dans un coin de l’unique pièce qui constituait auparavant sa maison.
Les gens criaient mais n’osaient pas s’approcher du jeune homme.
Il fut ensuite emmené en prison où il ne demeura pas plus de quelques heures.
En effet des prisonniers brakmariens s’échapèrent ce même jour, et emmenèrent Bishop, alors dans un état quasi-végétatif, jusqu’à la nation de brakmar, ou il passa les années qui suivirent en vue de devenir un puissant soldat.
Pendant son instruction, on lui inculqua la haine de bonta, la patrie qui l’avait renié, et il prit lui-même la décision de tatouer sur son corps, d’une façon que lui seul pouvait lire, le ressentiment et la dégout qu’il avait pour la nation qui fut autrefois la sienne, et qu’il intégra plus tard dans l’intention de la détruire de l’intérieur, une seule chose lui laissait un goût amer, il allait devoir combattre son premier et dernier ami.*
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Mais en vrai je suis gentil hein